Mis à jour le 28 septembre 2024 par MeriemDraman
Votre ado est au lycée et rêve de partir faire ses études postbac à l’étranger ?
Étudier dans un autre pays est une aventure éducative exceptionnelle, qui promet d’enrichir son parcours académique et son CV !
En tant que parent, il est naturel de ressentir une certaine inquiétude à l’idée de voir votre enfant s’éloigner, surtout si vous ne savez pas exactement comment planifier ce grand départ. Si c’est votre cas, vous êtes au bon endroit !
Dans cet article, je vous explique pas à pas comment faire pour partir étudier à l’étranger après le Bac.
Erasmus + et les programmes d’échange : des dispositifs pour partir à l’étranger à partir de la deuxième année d’études supérieures
En participant à un programme d’échange européen ou international, votre ado pourra partir étudier à l’étranger à partir de sa deuxième année d’études post-Bac. Voici un aperçu des principales options.
Bénéficier du programme Erasmus +
Erasmus + est le dispositif phare qui permet d’étudier à l’étranger après le Bac, dès la deuxième année d’études supérieures. Ce programme de mobilité éducative de l’Union européenne s’adresse à tous les jeunes en poursuite d’études, quelles que soient leurs disciplines, leur cycle académique ou le diplôme préparé.
Votre enfant, qu’il soit inscrit à l’université, en classe préparatoire, en école de commerce, d’ingénieur, en BTS, en BUT ou dans tout autre cursus post-baccalauréat, peut prétendre à ce programme à partir de sa deuxième année, dès lors que son établissement d’enseignement supérieur est signataire de la charte Erasmus+. En fonction des établissements, les mobilités peuvent être restreintes à certaines années d’études (3ème, 4ème, ou 5ème). Il est impératif de se renseigner au préalable pour savoir quand une candidature est possible.
Les destinations possibles s’étendent aux 26 pays membres de l’Union européenne, avec l’ajout de 6 pays associés (Islande, Lichtenstein, Norvège, Turquie, Macédoine du Nord, et Serbie). Les séjours s’étalent sur des périodes de 3 à 12 mois par cycles d’études.
Pour candidater, il suffit de s’adresser au bureau Erasmus + de l’établissement d’Enseignement Supérieur où est scolarisé votre enfant, ou bien au service de relation internationale ou du coordinateur Erasmus +.
Participer à un programme d’échange européen ou international
En dehors du cadre d’Erasmus +, de nombreuses universités et écoles françaises ont établi des partenariats bilatéraux avec des établissements étrangers, ouvrant ainsi la voie à l’obtention d’un double diplôme Les mobilités sont généralement prévues en deuxième ou troisième année. En voici quelques exemples :
- Partenariats étrangers avec HEC : HEC Paris a passé des accords de diplômes conjoints avec des écoles prestigieuses européennes (Londres, Milan, etc.) et des institutions à l’international (Amérique latine, Afrique, Asie, etc.).
- Programme d’échange québécois : le BCI (Bureau de coopération interuniversitaire), regroupe un réseau d’universités québécoises partenaires d’établissements français.
- Échanges internationaux dans les grandes écoles : la plupart des grandes écoles (commerce, management, ingénieur, etc.) sont en partenariat avec des établissements à l’international, et proposent des échanges scolaires avec la possibilité de passer un double diplôme. Par exemple, en troisième année à Science Po, les étudiants partent une année complète à l’étranger dans une université partenaire.
Pour découvrir les différentes options disponibles, renseignez-vous auprès du bureau des relations internationales de l’établissement français où est scolarisé votre enfant.
Partir étudier à l’étranger juste après le Bac : zoom sur les différents pays
Les programmes comme Erasmus + ou les accords bilatéraux sont ouverts à partir de la deuxième année d’études post-Bac. Si votre ado désire partir immédiatement après le Bac, vous pouvez organiser le départ par vos propres moyens, sans passer par un programme d’échange. Dans cette situation, la responsabilité de toutes les démarches vous incombe. Cela implique d’initier le contact avec les établissements visés, d’effectuer les démarches d’inscription, de vous assurer de la reconnaissance des diplômes, et éventuellement, de passer des examens d’entrée. Voici un aperçu des démarches d’inscription propres à chaque pays.
Faire ses études supérieures en Angleterre 🇬🇧
L’Angleterre attire par ses universités prestigieuses, comme Oxford ou Cambridge, ainsi que par ses écoles de commerce mondialement reconnues. Depuis le Brexit, les conditions d’accès se sont durcies, et les étudiants étrangers doivent obtenir un visa étudiant. Pour s’inscrire dans un établissement Anglais, vous devrez vous rendre sur le site de l’UCAS (Universities and Colleges Admissions Service). Il s’agit d’une plateforme équivalente à Parcoursup en France, qui recense plus de 370 établissements. Votre ado peut y soumettre son dossier et faire jusqu’à cinq choix différents. Attention, cette démarche est à anticiper dans le courant du mois de janvier précédant la rentrée scolaire.
Pour étudier en Angleterre, des compétences solides en anglais sont requises, validées par un test de langue. Bien que le TOEFL soit accepté, c’est souvent l’IELTS qui est exigé. De plus, des épreuves linguistiques spécifiques sont planifiées pour certains cursus tels que la médecine ou le droit. Les universités les plus renommées ont même élaboré leurs propres évaluations en langue pour la sélection des candidats.
Faire ses études en Irlande 🇮🇪
Depuis le Brexit, l’Irlande s’est substituée à l’Angleterre en tant que destination prisée des étudiants français. Renommée pour son système d’enseignement supérieur de qualité, aligné sur le système LMD, l’Irlande offre plusieurs types d’établissements post-Bac :
- Les universités : elles sont toutes publiques et accessibles avec des frais de scolarité très modestes (mais avec des frais annexes élevés, je vous l’explique plus bas). On peut y poursuivre des cursus variés (Bachelor, Master, PhD, etc.).
- Les instituts de technologie : ils dispensent des enseignements en sciences, ingénierie, business, technologie, etc.
- Les collèges privés indépendants : on peut y suivre des études en comptabilité, art, business, hôtellerie, droit ou médecine. Les frais de scolarité peuvent y être très élevés.
Les cours débutent entre septembre et octobre. Les ressortissants européens qui souhaitent candidater dans un établissement du supérieur en Irlande doivent réaliser leurs démarches entre le 6 novembre et le 1er février. C’est le Central Applications Office (CAO) qui gère les candidatures. Par la suite, ce sont les établissements qui effectuent leur propre sélection, basée sur des critères spécifiques, incluant souvent un test de langue.
En règle générale, les formations de premier cycle dans les établissements publics irlandais sont accessibles gratuitement ou à un coût relativement bas. Néanmoins, des frais sont à prévoir, tels que les droits d’inscription, les frais d’examen et l’adhésion aux services étudiants, s’élevant entre 3 000 et 3 500 euros.
Étudier aux Pays-Bas 🇳🇱
L’enseignement supérieur néerlandais est composé de 3 types d’établissements : université, université de sciences appliquées et université ouverte (formation continue). Studielink est la plateforme d’inscription pour les étudiants étrangers aux Pays-Bas. Les candidats doivent créer un compte, choisir l’établissement et le programme visé. Pour certaines formations, il est impératif de candidater avant le 15 janvier. La maîtrise de l’anglais est souvent requise, et votre ado devra fournir ses résultats à des tests comme le TOEFL ou l’IELTS.
Partir en Allemagne après le Bac 🇩🇪
L’Allemagne est une destination prisée par les étudiants français. Avec environ 340 établissements d’enseignement supérieur, la plupart publics, le pays offre une diversité d’opportunités scolaires. L’enseignement supérieur est assuré par les universités (Universität) et les établissements supérieurs (Fachhochschulen), davantage centrés sur la pratique professionnelle.
Tout bachelier français peut postuler dans une université ou un établissement supérieur allemand. Cependant, une maîtrise solide de l’allemand est indispensable, souvent validée par des tests linguistiques tels que le TestDaF ou le DSH. Pour s’inscrire, un formulaire spécifique d’admission est requis (Antrag auf Zulassung zum Studium/auf Immatrikulation), à demander auprès de l’établissement visé. Renseignez-vous en amont sur les critères d’admission qui peuvent varier selon les institutions.
Certaines filières opèrent une sélection centralisée via le portail hochschulstart.de. Pour faciliter les démarches, le service « Uni-Assist » a été instauré, afin d’aider les étudiants étrangers dans leurs candidatures universitaires. À noter, ce service est payant, les tarifs étant disponibles sur leur site officiel.
Suivre des études post-bac en Italie 🇮🇹
Poursuivre des études après le Bac en Italie représente un choix attractif pour de nombreux étudiants français, notamment en raison de ses cursus réputés dans les domaines artistiques et culturels. L’Italie possède un réseau étendu d’établissements d’enseignement supérieur relevant du ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Ce réseau comprend environ une soixantaine d’universités publiques ainsi que divers autres établissements (écoles supérieures, instituts techniques, universités privées).
Pour s’inscrire à l’université en Italie, il est impératif d’être titulaire du Baccalauréat français. Vous devez postuler directement auprès de l’université souhaitée, chacune ayant ses propres procédures d’admission. Renseignez-vous dès le premier trimestre précédant la rentrée universitaire.
En général, on demandera à votre ado de fournir un dossier d’admission, comportant les documents suivants :
- L’original du diplôme de Baccalauréat, accompagné du relevé de notes.
- Une traduction assermentée des diplômes en italien, à obtenir auprès d’un traducteur agréé par le Tribunal de Grande Instance.
- Tout autre document requis spécifié par l’établissement choisi.
Étudier en Espagne après le Bac 🇪🇸
L’Espagne est l’une des destinations préférées des étudiants français. Son cadre de vie agréable, sa richesse culturelle et ses universités réputées en font un cadre idéal pour poursuivre des études post-bac.
En Espagne, le paysage universitaire comprend une cinquantaine d’universités publiques et une trentaine d’universités privées, dont une vingtaine affiliées à l’Église catholique. On y trouve aussi des écoles de commerce et de gestion, et des instituts techniques et polytechnique.
Le baccalauréat est requis pour s’inscrire dans une université espagnole. En Espagne, c’est la UNED (Universidad Nacional de Educación a Distancia) qui traite les demandes de candidatures post-bac. La procédure se déroule en ligne, à partir du site UNED asiss. Le dossier de votre enfant y sera examiné, et en cas de réussite, une équivalence au bachillerato (baccalauréat espagnol) ainsi qu’un certificat lui seront délivrés. En parallèle, une préinscription doit être réalisée auprès de l’université espagnole choisie, également en ligne sur son site officiel.
Faire ses études post-bac aux États-Unis 🇺🇸
Une expérience scolaire aux États-Unis constitue un véritable atout sur un CV. Harvard, Berkeley, ou Yale : ces cursus réputés dans le monde entier font rêver ! Mais les entrées sur le territoire sont strictement réglementées. Pour y étudier, l’obtention d’un visa de séjour temporaire est nécessaire, impliquant la justification des ressources financières pour couvrir les frais d’inscription et de vie pour les 12 premiers mois. À noter qu’une admission préalable dans un établissement d’enseignement américain est impérative pour obtenir ce visa.
Le système d’enseignement supérieur aux États-Unis s’organise autour de plusieurs types d’établissements :
- Community et Junior Colleges : ils dispensent des formations techniques ou générales sur 2 ans, avec des frais de scolarité modérés. Ils peuvent faciliter l’accès à certaines universités.
- Collèges : ils proposent un enseignement de premier cycle sur 4 ans pour obtenir un Bachelor of Arts (BA) ou Bachelor of Science (BS).
- Universités : on peut y étudier diverses disciplines (sciences humaines, sociales, commerce, ingénierie, etc.) ou intégrer des facultés pour les suivre des études plus spécifiques (médicales, pharmaceutiques, juridiques, etc.). Publiques et privées, elles préparent des diplômes de Licence, Master, MBA, doctorats.
- Instituts de technologie : souvent privés, ils sont consacrés à l’étude de la science et de la technologie.
- Établissements d’enseignement technique : ils dispensent des formations professionnelles dans les arts et métiers, avec une durée souvent inférieure à 15 mois, et permettent d’intégrer rapidement le marché du travail.
Le niveau de prestige des cours et des diplômes varie d’un établissement à l’autre. Pour vous aider à faire votre choix, vous pouvez privilégier les établissements accrédités et consulter leur niveau sur le site du Council for Higher Education Accreditation.
Il est impératif de débuter les démarches de mobilité 12 à 18 mois avant la rentrée scolaire. Pour postuler dans un établissement, il faut candidater directement auprès du bureau des admissions. Les procédures sont variables d’un établissement à l’autre, mais si votre enfant est accepté, il vous faudra régler l’intégralité des frais de scolarité, qui peuvent être très élevés.
Partir étudier au Canada 🇨🇦
Chaque année, le Canada attire un nombre considérable de Français, attirés par les opportunités d’études, de travail ou de tourisme. La réputation de ses institutions d’enseignement supérieur est solide, et le coût de la vie et de la scolarité y est plus abordable qu’aux États-Unis. Un large choix de formations est proposé dans des établissements francophones (Québec), anglophones ou bilingues.
Au Canada, on peut obtenir différents diplômes à l’université : un bachelor en 3 ou 4 ans, suivi d’une maîtrise en un an et demi à 2 ans, puis éventuellement d’un doctorat après 3 à 5 ans supplémentaires. Les collèges, instituts et écoles polytechniques, au nombre de 127, offrent des formations professionnelles dans divers domaines (commerce, industrie, fonction publique…), ouvrant sur le marché du travail ou des études avancées.
Le Québec présente une spécificité : les étudiants doivent passer 2 ans dans un cégep (collèges d’enseignement général et professionnel) après la fin de leurs études secondaires. C’est ce qui leur permet d’obtenir un DEC (diplôme d’études collégiales) avant d’intégrer une université ou une école.
Pour s’inscrire au Canada après le Bac, il faut postuler directement auprès de l’établissement choisi. Une traduction et une reconnaissance du Bac vous sera demandée, ainsi que le règlement des frais de scolarité. Les délais de candidature s’échelonnent entre le 1er janvier et le 1er mars.
Pour être accepté, un bon dossier académique (avec les photocopies des diplômes, relevés de notes, lettres de recommandation) est essentiel. Certains programmes demandent des tests d’entrée, notamment en droit, ingénierie, et en santé. Les établissements anglophones exigent souvent des scores élevés aux tests linguistiques comme le TOEFL (minimum 550 points) ou le CAEL (plus de 70 points).
Si votre enfant souhaite faire ses études au Québec, il pourra bénéficier de certaines équivalences automatiques. Un accord entre la France et le Québec autorise les bacheliers français à accéder au premier cycle universitaire sans passer par un Cégep, à condition de satisfaire aux critères d’admission de l’établissement choisi.
Quel budget prévoir pour des études à l’étranger post-Bac ?
Partir étudier à l’étranger après le Bac représente un coût financier non négligeable. En moyenne, un budget compris entre 6000 et 10 000 euros est à prévoir pour une année scolaire complète, hors frais de scolarité. Ce montant englobe divers aspects tels que le billet d’avion, le logement et les dépenses courantes sur place, et il peut varier considérablement en fonction du pays choisi.
En ce qui concerne les frais de scolarité, Erasmus+ offre la gratuité en Europe. Pour d’autres programmes d’échange, les frais sont généralement alignés sur ceux que vous auriez payés en France, avec la possibilité de bénéficier de certaines réductions.
À noter que si votre enfant est éligible aux bourses sur critères sociaux du CROUS en France, vous pouvez demander le maintien de cette bourse pour qu’il étudie dans un établissement étranger (à condition qu’il soit reconnu par le CROUS).
Diverses aides financières sont également accessibles :
- La bourse Erasmus +, pour un départ dans le cadre du programme correspondant. Son montant s’échelonne de 225 à 674 euros par mois, et s’ajoute à celui de la bourse sur critères sociaux du CROUS.
- Des aides du Ministère de l’Enseignement Supérieur ou du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères. Pour connaître vos droits, renseignez-vous sur https://www.etudiant.gouv.fr/fr et https://www.campusfrance.org/fr.
- Des aides des collectivités locales : sollicitez la mairie de votre ville pour savoir si des aides régionales ou départementales pourraient vous être attribuées.
Dans certains pays, des systèmes de bourses spécifiques aux étudiants étrangers existent. Pour les découvrir, effectuez des recherches sur le site du Ministère de l’Enseignement du pays de destination ou contactez directement l’ambassade.
Vous voici maintenant bien équipé pour accompagner votre enfant qui souhaite faire ses études à l’étranger après le Bac !
Gardez à l’esprit que la clé d’un départ et d’un séjour fructueux réside dans une préparation anticipée. Cette aventure académique hors frontières promet d’enrichir le parcours de vie de votre adolescent.
C’est une véritable chance qui s’offre à lui !
Accompagnement personnalisé pour les études à l’étranger
Je n’accompagne pas les jeunes qui souhaitent étudier à l’étranger, mais il y a des COSI dans l’association des COSI qui sont spécialistes de ce domaine.
N’hésitez pas à me contacter et je vous recommanderai un/une collègue avec plaisir.
Christelle dit
Bonjour je vois que vous parlez d’étudier à l’étranger dans cet article. Je regarde en Espagne les études de kiné. Avez vous déjà des jeunes qui ont testé cette voie de formation? Merci
MeriemDraman dit
Bonjour Christelle, je ne connais pas personnellement des jeunes qui ont testé cette voie, mais je peux vous mettre en contact avec une collègue à moi qui vit à Barcelone, et qui pourra vous renseigner. Il s’agit de Noémie Fréchet : [email protected]
A bientôt !
Elisabeth GUERIN dit
Bonjour
Très bon article merci à vous . Ma fille est en école IB ( international bac). Pas de soucis pour l’anglais. Mais elle recherche une école après bac où il n’y a pas de stress . Communication, marketing ou management. Hôtellerie aussi . Plutôt en Écosse ou Irlande , éventuellement Espagne ou en Europe. Cela ressemble + à une école en 2 ans sympa et encadrante, bienveillante…et à taille humaine …. que l’université sélective et stressante.
Avez vous une idée ? Une personne a nous conseiller ?
Merci par avance +++
MeriemDraman dit
Bonjour Elisabeth,
Merci pour votre feed-back très positif sur mon article. Je me renseigne auprès de mes COSI et reviens vers vous très vite. à bientôt !
DE AZEVEDO dit
Bonjour
Je vous remercie pour cet article qui nous donne une très bonne vision des choses. Mon fils souhaiterait partir à partir du mois de septembre mais ne sais pas vraiment quelle option choisir et surtout quelle école démarcher… est ce que vous auriez une personne qui pourrait l’aiguiller ? Existe t il des cours dispensés en français? Son anglais est moyen et l’objectif de partir à l’étranger est aussi de mieux apprendre la langue…
Je vous remercie par avance
MeriemDraman dit
Bonjour Madame, merci pour ce feed-back très positif qui m’encourage à continuer à rédiger des articles pour vous les parents… Concernant votre question, je vous recommande un autre article que j’ai rédigé où vous trouverez de nombreuses infos utiles : https://www.meriemdraman.com/fr/meilleurs-organismes-sejours-linguistiques/